C'est tellement énorme , ca ne s'invente pas.
Il y en a que j'ai connu, comme celle de la gendarmerie fermée pour cause de sieste.
La S.D.F. fut incapable de nous donner une adresse valable.
Le marteau utilisé était en bois sauf qu'il était en fer.
L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu.
.Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
Arrêté par les gendarmes, le voleur les a menaces d'appeler la police.
La gendarmerie étant fermée le dimanche, le meurtrier dut attendre le lundi pour venir tout avouer.
N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.
Le camion que nous avons inspecté transportait 30 porcs munis de leurs femmes.
Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts...
C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.
Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.
Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.
En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.
L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.
C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.
Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.
L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.
Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant...
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.
Le mur avançait à grand pas vers le véhicule...
La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom.
Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement verrouillées.
Malgré un taux d'alcoolémie de 3.8, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.
Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.
Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari...
Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.
Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant...
L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
Il est a noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.
.Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent...
Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté...
Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.
Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.
C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il était mis à neiger.
Bien que nous étions cinq à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide...
Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.
La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui.
Soudain, la voiture recula pour mieux avancer...
Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir.
Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer...
Le mari semblait plus honnête de 50 % que sa femme...
La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul.
L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière.
Le motif du vol était le meurtre...
Avec un taux d'alcool de 3,2 g, le sang de l'homme était comme une bouteille.
Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.
Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir.
La carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.
Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.
Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée.
Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.
Le fusil à pompe était muni de quatre pneus lisses...
Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.
La neige s'était mise à tomber pour essayer de cacher l'objet du délit.
Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.
Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean-Pierre Pelprat.
Le logement de fonction du gendarme était trop exigu pour être habité...
Le complice des deux voleurs était sans doute le troisième...
N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.
Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.
Les chaussures de l'accidenté étaient aussi bien habillées que lui.
Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.
La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires.
La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes...
Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toit.
L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...
Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher...
Il avait le tort de n'être pas de nationalité française...
Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
Malgré ses 4 frères et soeurs, le jeune homme était fils unique.
Et la numéro 1 au palmarès
Quand le contrevenant a crié : "Espèce de gros con !" dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.